Mardi 27 avril
Aujourd'hui, nouvelle balade photo, cette fois-ci au village de Chèze, puis sur un sentier au-dessous de Saligos, avant de passer prendre un pain à la boulangerie bio du village.
Splendeur du printemps
Gavarnie printanier
Dimanche 25 avril
Pendant que j'étais dans l'Ariège, Hélo arrivait à Luz. Elle avait rendez-vous le dimanche matin au Carrefour d'Esquièze, pour un entretien en vue d'un boulot d'été. Le résultat est positif: elle comptait travailler un mois, elle se retrouve avec deux...
L'après-midi, elle est allée se balader avec Sarah et ses parents au plateau Bellevue, à Gavarnie. Evidemment, le printemps n'est pas aussi avancé là-haut, mais elle est revenue avec de beaux bouquets de jonquilles!
Pendant que j'étais dans l'Ariège, Hélo arrivait à Luz. Elle avait rendez-vous le dimanche matin au Carrefour d'Esquièze, pour un entretien en vue d'un boulot d'été. Le résultat est positif: elle comptait travailler un mois, elle se retrouve avec deux...
L'après-midi, elle est allée se balader avec Sarah et ses parents au plateau Bellevue, à Gavarnie. Evidemment, le printemps n'est pas aussi avancé là-haut, mais elle est revenue avec de beaux bouquets de jonquilles!
Séminaire dans les Pyrénées ariégeoises
Samedi 24 et dimanche 25 avril 2010
Marie-Françoise m'avait signalé que le groupe de Toulouse organisait un week-end dans l'Ariège autour du thème "les trois courants du devenir de l'humanité", avec un grand ponte de l'anthroposophie en France. Comme c'était en plus une bonne occasion de connaître les gens de Toulouse et, je l'espérais, de revoir ceux des Hautes-Pyrénées, j'ai décidé d'y participer.
Finalement, à part MF, il n'y avait personne que je connaissais - même situation qu'en octobre à Nice. Mais au dernier moment il y a eu une belle rencontre avec le "grand ponte", dont j'avais apprécié plusieurs réflexions (et les exposés aussi d'ailleurs). Suites possibles...
La rencontre avait lieu dans un gîte intégré à une ferme biodynamique, dans une douce vallée du piémont pyrénéen, pas loin du Mas d'Azil, haut-lieu préhistorique, cathare puis huguenot... Avec toute la splendeur du printemps!!
Marie-Françoise m'avait signalé que le groupe de Toulouse organisait un week-end dans l'Ariège autour du thème "les trois courants du devenir de l'humanité", avec un grand ponte de l'anthroposophie en France. Comme c'était en plus une bonne occasion de connaître les gens de Toulouse et, je l'espérais, de revoir ceux des Hautes-Pyrénées, j'ai décidé d'y participer.
Finalement, à part MF, il n'y avait personne que je connaissais - même situation qu'en octobre à Nice. Mais au dernier moment il y a eu une belle rencontre avec le "grand ponte", dont j'avais apprécié plusieurs réflexions (et les exposés aussi d'ailleurs). Suites possibles...
La rencontre avait lieu dans un gîte intégré à une ferme biodynamique, dans une douce vallée du piémont pyrénéen, pas loin du Mas d'Azil, haut-lieu préhistorique, cathare puis huguenot... Avec toute la splendeur du printemps!!
La Riviera vaudoise
Vendredi 2 avril
Avant de partir, je voulais avoir fait le chemin qui longe le lac entre Vevey et Villeneuve. Il m'aura fallu deux fois, mais ça valait la peine. Déjà, il fait bien plus beau et chaud qu'ailleurs, la région mérite bien son nom. Pas de brouillard, pas de bise, quel plaisir! Et cette végétation méditerranéenne!
A la mi-mars, c'était un peu brumeux, mais très doux.
A Montreux, on se croirait sur la Côte d'Azur... si ce n'était les montagnes enneigées très proches!
Aujourd'hui, il fait plus frais, mais les couleurs sont plus nettes.
Les Dents du Midi resplendissent à l'arrière-plan.
Le château de Chillon impose sa masse au bord de l'eau.
Mais surtout, c'est une explosion de fleurs!
et de bourgeons...
Avant de partir, je voulais avoir fait le chemin qui longe le lac entre Vevey et Villeneuve. Il m'aura fallu deux fois, mais ça valait la peine. Déjà, il fait bien plus beau et chaud qu'ailleurs, la région mérite bien son nom. Pas de brouillard, pas de bise, quel plaisir! Et cette végétation méditerranéenne!
A la mi-mars, c'était un peu brumeux, mais très doux.
A Montreux, on se croirait sur la Côte d'Azur... si ce n'était les montagnes enneigées très proches!
Aujourd'hui, il fait plus frais, mais les couleurs sont plus nettes.
Les Dents du Midi resplendissent à l'arrière-plan.
Le château de Chillon impose sa masse au bord de l'eau.
Mais surtout, c'est une explosion de fleurs!
et de bourgeons...
La Suisse, fin
Mercredi 31 mars
Dans deux mois, je suis de retour à Luz. Peut-être pas définitivement, mais en tout cas pour un
an.
J'ai obtenu le congé sans solde qui va me permettre de tâter le terrain là-bas: tout d'abord, voir si j'arrive à vivre avec la traduction et, j'espère, un petit travail d'appoint qui me permette de bouger et de voir du monde; ensuite, lancer un projet solidaire - éco-hameau, biocoop, café bio... Travail de "réseautage" auprès des anciens amis et des groupes existants. J'ai un an pour poser les bases.
Si rien ne se passe, je reprends le boulot à la Confédération. Pour tout dire, je compte bien ne pas revenir.
Cela signifie aussi que je quitte l'Aubier. Je ne m'y sens pas à ma place, et ne pourrais pas envisager de faire les trajets jusqu'à 65 ans dans ces conditions... Ce ne sera pas sans regrets, car c'est une très belle réalisation.
Il y avait pourtant de belles choses. Par exemple la vue sur le lac, les Alpes, et les levers de soleil d'hiver au-dessus du brouillard.
Mais chez moi aussi il y a de belles choses.
Dans deux mois, je suis de retour à Luz. Peut-être pas définitivement, mais en tout cas pour un
an.
J'ai obtenu le congé sans solde qui va me permettre de tâter le terrain là-bas: tout d'abord, voir si j'arrive à vivre avec la traduction et, j'espère, un petit travail d'appoint qui me permette de bouger et de voir du monde; ensuite, lancer un projet solidaire - éco-hameau, biocoop, café bio... Travail de "réseautage" auprès des anciens amis et des groupes existants. J'ai un an pour poser les bases.
Si rien ne se passe, je reprends le boulot à la Confédération. Pour tout dire, je compte bien ne pas revenir.
Cela signifie aussi que je quitte l'Aubier. Je ne m'y sens pas à ma place, et ne pourrais pas envisager de faire les trajets jusqu'à 65 ans dans ces conditions... Ce ne sera pas sans regrets, car c'est une très belle réalisation.
Il y avait pourtant de belles choses. Par exemple la vue sur le lac, les Alpes, et les levers de soleil d'hiver au-dessus du brouillard.
Mais chez moi aussi il y a de belles choses.
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