Samedi 8 et dimanche 9 mai 2010
Si je suis venue à Nice, ce n'est pas seulement pour rendre visite à Anne-Marie, mais aussi et surtout pour assister au séminaire organisé par le groupe de Nice sur l'économie. L'intervenant est Marc Desaules, fondateur et responsable de l'Aubier (avec Anita, bien sûr). Il y a d'abord, le vendredi soir, une conférence publique en ville; puis, le samedi et le dimanche matin, un travail en groupe à Valbonne, dans la maison qui tient lieu de jardin d'enfants actuellement. Je retrouve avec plaisir plusieurs personnes rencontrées début octobre à Lérins.
Les débats sont animés, au point qu'Anita me fait rire, à la fin, en me disant que ça la faisait penser à la scène d'Astérix: "il est pas bon, mon poisson?"... Evidemment, les Suisses ne sont pas habitués à une telle ambiance. Pourtant, ils sont finalement très contents de l'expérience. Quant aux participants, ils sont carrément enthousiastes! Le groupe a reçu de nombreux exemples et conseils pratiques, il ne leur reste plus qu'à passer à l'application... Moi aussi, il me semble que j'arrive à déterminer de plus en plus précisément ce que je veux faire.
Et puis c'est le retour, avec arrêt à Marseille. Ces vacances, encadrées par deux séminaires, ont été particulièrement riches. Et maintenant, plus que trois semaines en Suisse!
Si je suis venue à Nice, ce n'est pas seulement pour rendre visite à Anne-Marie, mais aussi et surtout pour assister au séminaire organisé par le groupe de Nice sur l'économie. L'intervenant est Marc Desaules, fondateur et responsable de l'Aubier (avec Anita, bien sûr). Il y a d'abord, le vendredi soir, une conférence publique en ville; puis, le samedi et le dimanche matin, un travail en groupe à Valbonne, dans la maison qui tient lieu de jardin d'enfants actuellement. Je retrouve avec plaisir plusieurs personnes rencontrées début octobre à Lérins.
Les débats sont animés, au point qu'Anita me fait rire, à la fin, en me disant que ça la faisait penser à la scène d'Astérix: "il est pas bon, mon poisson?"... Evidemment, les Suisses ne sont pas habitués à une telle ambiance. Pourtant, ils sont finalement très contents de l'expérience. Quant aux participants, ils sont carrément enthousiastes! Le groupe a reçu de nombreux exemples et conseils pratiques, il ne leur reste plus qu'à passer à l'application... Moi aussi, il me semble que j'arrive à déterminer de plus en plus précisément ce que je veux faire.
Et puis c'est le retour, avec arrêt à Marseille. Ces vacances, encadrées par deux séminaires, ont été particulièrement riches. Et maintenant, plus que trois semaines en Suisse!
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