Dimanche 9 septembre 2012
Sylvie est revenue faire une cure à Barèges, mais cette fois-ci elle est seule à la maison...
Vu le très beau temps, je l'emmène faire un tour dans un endroit où je ne suis plus allée depuis longtemps, mais qui est sans doute l'un des plus beaux que je connaisse dans les Pyrénées: la réserve naturelle du Néouvielle.
La route qui menait jusqu'en haut étant maintenant fermée, nous laissons la voiture au lac d'Orédon pour monter d'abord jusqu'aux laquettes, une série de petits lacs naturels nichés dans les pins.
Nous débouchons sur le barrage du lac d'Aubert (2148 m d'altitude), un grand lac dominé par mon cher Néouvielle. On voit très bien l'itinéraire que nous avions parcouru l'année dernière, sauf qu'il y avait encore de la neige en juin et que là il n'y a plus rien. Dans le temps - mais oui mais oui, on commence à parler comme les vieux - il était beaucoup plus blanc; des petits glaciers et des névés subsistaient toute l'année.
Encore une petite marche et nous arrivons au lac d'Aumar (2192 m) qui, lui, est naturel.
En allant jusqu'au bout, on a une vue splendide sur le Ramougn et le Néouvielle, dont c'est d'ailleurs l'une des photos les plus classiques. On voit très bien la brèche de Chausenque, que nous avions empruntée pour passer de la vallée de Luz à la vallée d'Aure.
Quand les enfants étaient petits, nous avions campé avec Jean-Marc et Marie-Pierre un soir de septembre et l'eau était tellement bonne que nous nous étions tous copieusement baignés. Un très beau souvenir!
Pour redescendre, nous prenons la navette. Il y a encore bien d'autres petites vallées secrètes, parsemées de nombreux lacs, à parcourir dans cette région, toutes plus belles les unes que les autres. Il va falloir revenir!
Sylvie est revenue faire une cure à Barèges, mais cette fois-ci elle est seule à la maison...
Vu le très beau temps, je l'emmène faire un tour dans un endroit où je ne suis plus allée depuis longtemps, mais qui est sans doute l'un des plus beaux que je connaisse dans les Pyrénées: la réserve naturelle du Néouvielle.
La route qui menait jusqu'en haut étant maintenant fermée, nous laissons la voiture au lac d'Orédon pour monter d'abord jusqu'aux laquettes, une série de petits lacs naturels nichés dans les pins.
Nous débouchons sur le barrage du lac d'Aubert (2148 m d'altitude), un grand lac dominé par mon cher Néouvielle. On voit très bien l'itinéraire que nous avions parcouru l'année dernière, sauf qu'il y avait encore de la neige en juin et que là il n'y a plus rien. Dans le temps - mais oui mais oui, on commence à parler comme les vieux - il était beaucoup plus blanc; des petits glaciers et des névés subsistaient toute l'année.
Encore une petite marche et nous arrivons au lac d'Aumar (2192 m) qui, lui, est naturel.
En allant jusqu'au bout, on a une vue splendide sur le Ramougn et le Néouvielle, dont c'est d'ailleurs l'une des photos les plus classiques. On voit très bien la brèche de Chausenque, que nous avions empruntée pour passer de la vallée de Luz à la vallée d'Aure.
Quand les enfants étaient petits, nous avions campé avec Jean-Marc et Marie-Pierre un soir de septembre et l'eau était tellement bonne que nous nous étions tous copieusement baignés. Un très beau souvenir!
Pour redescendre, nous prenons la navette. Il y a encore bien d'autres petites vallées secrètes, parsemées de nombreux lacs, à parcourir dans cette région, toutes plus belles les unes que les autres. Il va falloir revenir!
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