Avril 2013
Je continue mes pérégrinations. Si Bagnères m'a bien plu - c'est une petite ville pratique et très active dans beaucoup de domaines intéressants -, la formule "solo" ne m'a pas trop convaincue. Je reviens donc à une forme d'habitat plus collectif: la colocation senior.
Je connaissais celle de Lamarque-Pontacq, près de Lourdes, depuis déjà un moment. Et puis les choses se sont précipitées et m'y voilà, en compagnie de deux "anciens", Jean-Marie et Nicole, et d'un autre "nouveau", Robert.
La maison est une grande maison typique, bigourdane ou béarnaise (on est juste à la limite entre deux provinces, deux départements, deux régions), avec devant, une grande cour fermée par un grand portail et, derrière, un jardin engazonné et un grand potager.
Côté sud, on a une très belle vue sur les montagnes, avec le Pic du Midi et le Montaigu.
Au nord, le paysage est plus bucolique: après la pelouse et le potager, c'est le pré aux moutons avec, au fond, le clocher de l'église de Lamarque.
Je continue mes pérégrinations. Si Bagnères m'a bien plu - c'est une petite ville pratique et très active dans beaucoup de domaines intéressants -, la formule "solo" ne m'a pas trop convaincue. Je reviens donc à une forme d'habitat plus collectif: la colocation senior.
Je connaissais celle de Lamarque-Pontacq, près de Lourdes, depuis déjà un moment. Et puis les choses se sont précipitées et m'y voilà, en compagnie de deux "anciens", Jean-Marie et Nicole, et d'un autre "nouveau", Robert.
La maison est une grande maison typique, bigourdane ou béarnaise (on est juste à la limite entre deux provinces, deux départements, deux régions), avec devant, une grande cour fermée par un grand portail et, derrière, un jardin engazonné et un grand potager.
Côté sud, on a une très belle vue sur les montagnes, avec le Pic du Midi et le Montaigu.
Au nord, le paysage est plus bucolique: après la pelouse et le potager, c'est le pré aux moutons avec, au fond, le clocher de l'église de Lamarque.
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