Ronda

Samedi 20 juillet 2013





De l'avis général, il faut voir Ronda. De plus, le Cercanias (le train qui dessert la côte de Malaga à Fuengirola) fait la pub pour une nouvelle offre: un aller-retour en train dans la journée. Il n'y a plus qu'à...








 Le trajet lui-même vaut déjà la peine. Le train, faisant un grand détour, serpente dans d'immenses paysages contrastés, avec les montagnes pelées et les vallées bien cultivées, avec beaucoup d'oliviers évidemment. Au bout de deux heures, on arrive à Ronda. Il faut traverser la ville nouvelle et passer près des arènes (l'une des plus anciennes d'Espagne), avant d'arriver à la "ciudad", la vieille ville.

 





Celle-ci est bâtie au-dessus d'une gorge impressionnante, el Tajo, et n'est accessible, naturellement, que d'un côté. Mais la grande attraction, ce sont les ponts qui relient la vieille ville à la nouvelle en franchissant le Guadalevin: le pont Neuf, le plus haut perché, le pont San Miguel et le Vieux pont ou pont Arabe.







La vieille ville est effectivement très belle, avec ses ruelles, ses places et ses maisons blanches.




Ronda est le berceau de la tauromachie, mais a aussi été appréciée par de nombreux écrivains tels que Rilke, Orson Wells et Hemingway.






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