Dimanche 25 décembre 2016
Le lendemain matin, comptant voir la procession annoncée à l'entrée de la cathédrale, nous arrivons un peu avant la grande messe de Noël. C'est juste le moment où le fameux "botafumeiro" va entrer en action. Cet encensoir en laiton argenté, haut de 1,60 m et pesant 54 kg, est le plus grand du monde. Il est mobilisé par sept hommes en costume rouge qui, en lui donnant de l'élan, le font monter à 20 m de haut et parcourir tout le transept à une vitesse pouvant atteindre 70 km/h!
Puis c'est la procession, c'est-à-dire la promenade de reliques à l'intérieur de la cathédrale.
Nous ressortons pour profiter du soleil qui brille sur la ville, ce que nous n'osions pas espérer en venant ici en cette saison.
La place de l'Obradoiro est fermée d'un côté par l'ancien palais des Rois Catholiques, transformé en Parador, l'un des plus beaux d'Espagne paraît-il.
Les maisons typiques possèdent au dernier étage ces sortes de vérandas fermées blanches.
Le beau temps se maintient et nous laisse le temps d'aller faire une petite promenade en face de la vieille ville, d'où l'on a une vue panoramique sur celle-ci. En remontant, près d'une petite église, nous nous retrouvons (enfin!) sur le fameux Camino. Pourtant, ce n'est pas le bâton de pèlerin que nous allons prendre, mais le train pour Porto...
Le lendemain matin, comptant voir la procession annoncée à l'entrée de la cathédrale, nous arrivons un peu avant la grande messe de Noël. C'est juste le moment où le fameux "botafumeiro" va entrer en action. Cet encensoir en laiton argenté, haut de 1,60 m et pesant 54 kg, est le plus grand du monde. Il est mobilisé par sept hommes en costume rouge qui, en lui donnant de l'élan, le font monter à 20 m de haut et parcourir tout le transept à une vitesse pouvant atteindre 70 km/h!
Puis c'est la procession, c'est-à-dire la promenade de reliques à l'intérieur de la cathédrale.
Nous ressortons pour profiter du soleil qui brille sur la ville, ce que nous n'osions pas espérer en venant ici en cette saison.
La place de l'Obradoiro est fermée d'un côté par l'ancien palais des Rois Catholiques, transformé en Parador, l'un des plus beaux d'Espagne paraît-il.
Les maisons typiques possèdent au dernier étage ces sortes de vérandas fermées blanches.
Le beau temps se maintient et nous laisse le temps d'aller faire une petite promenade en face de la vieille ville, d'où l'on a une vue panoramique sur celle-ci. En remontant, près d'une petite église, nous nous retrouvons (enfin!) sur le fameux Camino. Pourtant, ce n'est pas le bâton de pèlerin que nous allons prendre, mais le train pour Porto...