Mercredi 18 juin 2014
Si la mer est relativement calme à Jimbaran, ce n'est pas le cas du reste de la presqu'île: ailleurs, les plages sont dédiées au surf! Les jeunes venus de partout, surtout d'Australie, ont créé là un monde à eux. Nous allons voir l'un des "spots" les plus connus, qui porte un nom à consonance hawaïenne: Uluwatu.
Depuis une terrasse de l'un des nombreux cafés, sirotant une eau de coco, nous admirons les performances des surfeurs. C'est plutôt impressionnant. Déjà, il faut partir d'une espèce de grotte où la mer se jette avec violence.
Puis nager avec la planche jusqu'au niveau où se forme la houle.
Et, enfin, essayer...
Par moments, il ne se passe rien, tous les surfeurs semblent attendre quelque chose qui ne vient pas... Puis soudain l'un se redresse et festonne le long de la vague. C'est magnifique!
Quittant à regrets ce lieu magique, nous allons visiter le temple aux macaques qui se dresse un peu plus loin sur la falaise.
Ces charmantes bestioles toujours prêtes à vous piquer votre chapeau ou vos lunettes courent de tous les côtés, au milieu des nombreux visiteurs.
Mais rien ne vaut la mer, et nous faisons une halte à un autre spot, plus accessible, où se déroule apparemment un concours de surf.
Le soir, nous mangeons à l'hôtel en compagnie d'un couple de jeunes Français qui finissent leur voyage. Ils avaient choisi une agence qui propose des voyages "différents" et qui leur avait fourni un guide très sympathique. Comme il n'y a pas de transports publics à Bali, c'est exactement ce qu'il nous faut. Nous appelons Arya, qui est aussitôt d'accord: nous partons dès demain pour quelques jours de circuit avec lui.
Si la mer est relativement calme à Jimbaran, ce n'est pas le cas du reste de la presqu'île: ailleurs, les plages sont dédiées au surf! Les jeunes venus de partout, surtout d'Australie, ont créé là un monde à eux. Nous allons voir l'un des "spots" les plus connus, qui porte un nom à consonance hawaïenne: Uluwatu.
Depuis une terrasse de l'un des nombreux cafés, sirotant une eau de coco, nous admirons les performances des surfeurs. C'est plutôt impressionnant. Déjà, il faut partir d'une espèce de grotte où la mer se jette avec violence.
Puis nager avec la planche jusqu'au niveau où se forme la houle.
Et, enfin, essayer...
Par moments, il ne se passe rien, tous les surfeurs semblent attendre quelque chose qui ne vient pas... Puis soudain l'un se redresse et festonne le long de la vague. C'est magnifique!
Quittant à regrets ce lieu magique, nous allons visiter le temple aux macaques qui se dresse un peu plus loin sur la falaise.
Ces charmantes bestioles toujours prêtes à vous piquer votre chapeau ou vos lunettes courent de tous les côtés, au milieu des nombreux visiteurs.
Mais rien ne vaut la mer, et nous faisons une halte à un autre spot, plus accessible, où se déroule apparemment un concours de surf.
Le soir, nous mangeons à l'hôtel en compagnie d'un couple de jeunes Français qui finissent leur voyage. Ils avaient choisi une agence qui propose des voyages "différents" et qui leur avait fourni un guide très sympathique. Comme il n'y a pas de transports publics à Bali, c'est exactement ce qu'il nous faut. Nous appelons Arya, qui est aussitôt d'accord: nous partons dès demain pour quelques jours de circuit avec lui.
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