Dimanche 9 octobre 2016
Les Rando Occitanes se terminent aujourd'hui par le tour de Labatsus, la "vallée d'en haut", qui regroupe les villages situés entre Luz et Barèges. Je choisis l'option la plus longue, celle qui monte jusqu'à Sers. Pour l'occasion, les maires ont ouvert les portes des églises, habituellement fermées. La plus belle est incontestablement celle de Sers, avec sa voûte bleue étoilée.
Après Sers, on traverse le Bastan et on s'arrête à Betpouey pour le pique-nique. Un vieux monsieur vient s'asseoir à côté de moi et on se met à bavarder. Comme j'avais travaillé à Betpouey dans le temps, je demande des nouvelles des personnes que j'avais connues et nous passons finalement un moment bien sympathique!
C'est ensuite une assez longue montée au-dessus du village, dans des endroits où je n'étais encore jamais allée. Les prés dans ce secteur sont bien entretenus et les troupeaux nombreux.
J'admire une grange pourvue d'un "alat", c'est-à-dire d'un système de protection contre les avalanches. Celle-ci n'est pas très enterrée, contrairement à celles situées sur les plateaux au-dessus de Barèges, où le toit épouse la pente de façon à n'opposer aucune résistance à la neige, qui passe par-dessus.
Les Rando Occitanes se terminent aujourd'hui par le tour de Labatsus, la "vallée d'en haut", qui regroupe les villages situés entre Luz et Barèges. Je choisis l'option la plus longue, celle qui monte jusqu'à Sers. Pour l'occasion, les maires ont ouvert les portes des églises, habituellement fermées. La plus belle est incontestablement celle de Sers, avec sa voûte bleue étoilée.
Après Sers, on traverse le Bastan et on s'arrête à Betpouey pour le pique-nique. Un vieux monsieur vient s'asseoir à côté de moi et on se met à bavarder. Comme j'avais travaillé à Betpouey dans le temps, je demande des nouvelles des personnes que j'avais connues et nous passons finalement un moment bien sympathique!
C'est ensuite une assez longue montée au-dessus du village, dans des endroits où je n'étais encore jamais allée. Les prés dans ce secteur sont bien entretenus et les troupeaux nombreux.
J'admire une grange pourvue d'un "alat", c'est-à-dire d'un système de protection contre les avalanches. Celle-ci n'est pas très enterrée, contrairement à celles situées sur les plateaux au-dessus de Barèges, où le toit épouse la pente de façon à n'opposer aucune résistance à la neige, qui passe par-dessus.
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