Mardi 10 juillet 2012
Sur les conseils de Julien (et du Lonely), nous décidons de passer notre dernière journée de voyage dans les montagnes de Qinchengshan - et non pas dans le grand centre d'élevage des pandas, qui est pourtant le principal attrait touristique de la ville.
Un des points intéressants de cette excursion est le fait qu'elle nous permet, pour parcourir les 30 km qui nous séparent de la montagne, de prendre un train à grande vitesse. Celui-ci n'a pas une forme aérodynamique comme les TGV, mais il monte bien jusqu'à 200 km/h!
Un petit bus nous emmène ensuite jusqu'à un village purement touristique - constitué uniquement de restaurants et de boutiques - qui ressemble à un décor de théâtre tellement il est en parfait état. Sans doute encore une rénovation après le séisme...
Des oeufs nous amènent jusqu'à un premier niveau. La végétation est incroyablement dense et l'humidité doit dépasser les 100%! En continuant à pied, nous arrivons à une petite retenue sur le torrent. Il faut prendre un bac pour la franchir... Très romantique, surtout avec ce brouillard!
Nous continuons notre chemin, assez péniblement car ce ne sont que des marches, des centaines de marches... Pour arriver finalement à un temple où nous sommes accueillies par le grand sourire du Bouddha local. Heureusement, nous l'avons bien mérité! Le temple lui-même est en assez mauvais état, les fonds nécessaires à la restauration n'ont sans doute pas réussi à monter jusque-là.
La vue depuis le temple est quelque peu limitée par les nuages... Mais, vu le nombre d'hôtels et d'appartements dispersés dans toute la montagne, le climat (à Chengdu, le temps est gris au moins 300 jours par an) ne décourage apparemment pas les touristes chinois. En fait, nous nous apercevrons après coup que nous nous sommes trompées de lieu: nous voulions visiter la montagne taoïste, la plus célèbre, et nous avons visité la montagne bouddhiste!!
Puis c'est la descente, un peu précipitée car l'heure de notre train approche; croyant aller plus vite, nous prenons une autre télécabine pour rejoindre la première. Mal nous en prend, car elle n'est pas toute jeune et tourne au ralenti. Nous finirons d'ailleurs par manquer notre train... Ce qui ne nous empêche pas de passer encore une bonne soirée avec Julien, qui nous emmène cette fois dans une rue piétonne très touristique où l'on achète toutes sortes de spécialités locales dans de petites échoppes.
Et le lendemain, c'est le vol de retour pour Pékin... Question humidité, pas trop de dépaysement: un violent orage inonde la rue en un temps record et nous empêche d'aller manger au restaurant japonais où nous comptions inviter Hugues, le colocataire d'Hélo, et Huan son amie chinoise. Tant pis, la cuisine coréenne n'est pas mal non plus pour notre dernier soir en Chine!
Sur les conseils de Julien (et du Lonely), nous décidons de passer notre dernière journée de voyage dans les montagnes de Qinchengshan - et non pas dans le grand centre d'élevage des pandas, qui est pourtant le principal attrait touristique de la ville.
Un des points intéressants de cette excursion est le fait qu'elle nous permet, pour parcourir les 30 km qui nous séparent de la montagne, de prendre un train à grande vitesse. Celui-ci n'a pas une forme aérodynamique comme les TGV, mais il monte bien jusqu'à 200 km/h!
Un petit bus nous emmène ensuite jusqu'à un village purement touristique - constitué uniquement de restaurants et de boutiques - qui ressemble à un décor de théâtre tellement il est en parfait état. Sans doute encore une rénovation après le séisme...
Des oeufs nous amènent jusqu'à un premier niveau. La végétation est incroyablement dense et l'humidité doit dépasser les 100%! En continuant à pied, nous arrivons à une petite retenue sur le torrent. Il faut prendre un bac pour la franchir... Très romantique, surtout avec ce brouillard!
Nous continuons notre chemin, assez péniblement car ce ne sont que des marches, des centaines de marches... Pour arriver finalement à un temple où nous sommes accueillies par le grand sourire du Bouddha local. Heureusement, nous l'avons bien mérité! Le temple lui-même est en assez mauvais état, les fonds nécessaires à la restauration n'ont sans doute pas réussi à monter jusque-là.
La vue depuis le temple est quelque peu limitée par les nuages... Mais, vu le nombre d'hôtels et d'appartements dispersés dans toute la montagne, le climat (à Chengdu, le temps est gris au moins 300 jours par an) ne décourage apparemment pas les touristes chinois. En fait, nous nous apercevrons après coup que nous nous sommes trompées de lieu: nous voulions visiter la montagne taoïste, la plus célèbre, et nous avons visité la montagne bouddhiste!!
Puis c'est la descente, un peu précipitée car l'heure de notre train approche; croyant aller plus vite, nous prenons une autre télécabine pour rejoindre la première. Mal nous en prend, car elle n'est pas toute jeune et tourne au ralenti. Nous finirons d'ailleurs par manquer notre train... Ce qui ne nous empêche pas de passer encore une bonne soirée avec Julien, qui nous emmène cette fois dans une rue piétonne très touristique où l'on achète toutes sortes de spécialités locales dans de petites échoppes.
Et le lendemain, c'est le vol de retour pour Pékin... Question humidité, pas trop de dépaysement: un violent orage inonde la rue en un temps record et nous empêche d'aller manger au restaurant japonais où nous comptions inviter Hugues, le colocataire d'Hélo, et Huan son amie chinoise. Tant pis, la cuisine coréenne n'est pas mal non plus pour notre dernier soir en Chine!
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