Lundi 30 décembre 2013
Nous repartons vers le nord, mais cette fois en direction de Buerba, le village où Gérard a une grange et où j'étais allée en septembre 2011 avec Florence. Gérard organise d'ailleurs un court séjour avec réveillon chez lui et nous nous croiserons plusieurs fois jusqu'au retour à Tarbes.
De Buerba, nous partons faire une randonnée en boucle jusqu'au village abandonné de Yeba. Il faut d'abord descendre jusqu'au rio, que l'on longe par un bon sentier à flanc. Mais à un moment, ça se complique: le pont romain qui précède la montée vers Yeba est couvert de glace! Guillaume, notre accompagnateur, est obligé de donner la main à certaines...
Le village n'est pas habité, mais pas totalement abandonné non plus.
Pour l'instant, il est occupé par un troupeau de vaches qui errent tranquillement, calmes comme les vaches indiennes...
Plusieurs maisons sont retapées et visiblement utilisées pour les vacances.
Au retour, nouveau problème pour traverser le rio: sur ce côté de la boucle, il n'y a carrément ni pont ni gué! Pour finir, Guillaume est obligé de se déchausser pour placer des rochers dans le lit du torrent afin de nous faire un passage... Quel courage, avec ce froid!
Et désolée pour la piètre qualité de ces photos, prises avec le mobile: je n'avais pas d'appareil pour ces quatre jours!
Nous repartons vers le nord, mais cette fois en direction de Buerba, le village où Gérard a une grange et où j'étais allée en septembre 2011 avec Florence. Gérard organise d'ailleurs un court séjour avec réveillon chez lui et nous nous croiserons plusieurs fois jusqu'au retour à Tarbes.
De Buerba, nous partons faire une randonnée en boucle jusqu'au village abandonné de Yeba. Il faut d'abord descendre jusqu'au rio, que l'on longe par un bon sentier à flanc. Mais à un moment, ça se complique: le pont romain qui précède la montée vers Yeba est couvert de glace! Guillaume, notre accompagnateur, est obligé de donner la main à certaines...
Le village n'est pas habité, mais pas totalement abandonné non plus.
Pour l'instant, il est occupé par un troupeau de vaches qui errent tranquillement, calmes comme les vaches indiennes...
Plusieurs maisons sont retapées et visiblement utilisées pour les vacances.
Au retour, nouveau problème pour traverser le rio: sur ce côté de la boucle, il n'y a carrément ni pont ni gué! Pour finir, Guillaume est obligé de se déchausser pour placer des rochers dans le lit du torrent afin de nous faire un passage... Quel courage, avec ce froid!
Et désolée pour la piètre qualité de ces photos, prises avec le mobile: je n'avais pas d'appareil pour ces quatre jours!
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