Samedi 20 août 2016
Nous n'avions pas prévu d'aller jusqu'à la mer Morte, mais le couple de Français rencontré au Wadi Rum nous a dit qu'il était facile de prendre un taxi pour s'y rendre depuis Madaba. Ce que nous faisons donc.
Nous choisissons la plage du complexe gouvernemental, plutôt que l'une des plages chics des grands hôtels. Quelle étrange expérience! D'abord, il fait une chaleur écrasante, puisque là nous ne sommes plus en altitude, mais à 424 m de profondeur! C'est la dépression la plus profonde du monde.
Et puis, impossible de nager là-dedans! D'abord, il faut absolument éviter de s'éclabousser, car la peau supporte très mal l'extrême salinité; ensuite, les pieds ne veulent pas rester sous l'eau... Nous finissons par trouver la technique du "petit vélo" pour nous éloigner du bord et nous rendre dans les zones où l'eau est un peu plus fraîche. C'est bien la première fois, à la mer, que je ne recherche pas de l'eau chaude mais de l'eau froide!!
Un autre phénomène amusant est la présence de boues aux vertus thérapeutiques. Un stand sur la plage en propose aux touristes. Sur la photo, ce ne sont pas des Africains, mais... des Chinois! Ils se sont juste enduits des pieds à la tête de cette boue noire.
Pour terminer, notre chauffeur nous amène au complexe créé par la Société royale pour la conservation de la nature, la RSCN. Ce musée, qui surplombe de 600 m la mer Morte, retrace son histoire et explique le risque de disparition qui la guette si rien n'est entrepris pour lutter contre la baisse rapide de son niveau. Mais les solutions ne sont pas évidentes... Nous rentrons épuisées de cette virée, en raison de l'intense chaleur, mais ravies de ces dernières découvertes. Ce fut vraiment un voyage magnifique, mais aussi particulièrement marquant...
Nous n'avions pas prévu d'aller jusqu'à la mer Morte, mais le couple de Français rencontré au Wadi Rum nous a dit qu'il était facile de prendre un taxi pour s'y rendre depuis Madaba. Ce que nous faisons donc.
Nous choisissons la plage du complexe gouvernemental, plutôt que l'une des plages chics des grands hôtels. Quelle étrange expérience! D'abord, il fait une chaleur écrasante, puisque là nous ne sommes plus en altitude, mais à 424 m de profondeur! C'est la dépression la plus profonde du monde.
Et puis, impossible de nager là-dedans! D'abord, il faut absolument éviter de s'éclabousser, car la peau supporte très mal l'extrême salinité; ensuite, les pieds ne veulent pas rester sous l'eau... Nous finissons par trouver la technique du "petit vélo" pour nous éloigner du bord et nous rendre dans les zones où l'eau est un peu plus fraîche. C'est bien la première fois, à la mer, que je ne recherche pas de l'eau chaude mais de l'eau froide!!
Un autre phénomène amusant est la présence de boues aux vertus thérapeutiques. Un stand sur la plage en propose aux touristes. Sur la photo, ce ne sont pas des Africains, mais... des Chinois! Ils se sont juste enduits des pieds à la tête de cette boue noire.
Pour terminer, notre chauffeur nous amène au complexe créé par la Société royale pour la conservation de la nature, la RSCN. Ce musée, qui surplombe de 600 m la mer Morte, retrace son histoire et explique le risque de disparition qui la guette si rien n'est entrepris pour lutter contre la baisse rapide de son niveau. Mais les solutions ne sont pas évidentes... Nous rentrons épuisées de cette virée, en raison de l'intense chaleur, mais ravies de ces dernières découvertes. Ce fut vraiment un voyage magnifique, mais aussi particulièrement marquant...
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