Mardi 16 août 2016
C'est reparti pour une seconde journée! Il y a encore beaucoup de choses à voir... Nous aurions envie d'aller jusqu'au tombeau d'Aaron, situé sur le plus haut sommet de Petra (près de 1400 m d'altitude), mais la marche serait vraiment trop longue par cette chaleur. Nous nous contenterons donc, ce matin, de monter au djebel Al-Khubtha.
Nous faisons plusieurs rencontres dans ce coin peu fréquenté de Petra. Tout d'abord, des Bédouins montés sur des mules, qui descendent les escaliers. Un peu plus haut, c'est un lézard d'un bleu étonnant.
Et pour terminer, un troupeau de chèvres qui semble attendre quelqu'un, mais ce n'est pas nous qui les intéressons...
En effet, nous voyons arriver un Bédouin et ses deux femmes, montés sur des mules, qui viennent leur apporter un sac d'orge. Les éleveurs sont obligés d'importer des céréales, car la nourriture du désert n'est quand même pas suffisante pour les bêtes.
Le chemin continue, marqué par des cairns. Et tout d'un coup, nous découvrons le haut du khazneh! En continuant encore, nous arrivons à la tente d'un Bédouin - peu causant, pour une fois - qui s'est installé juste en face. De sa terrasse, nous distinguons parfaitement tout l'ensemble de ce monument exceptionnel. Notre grimpette valait vraiment la peine!
C'est reparti pour une seconde journée! Il y a encore beaucoup de choses à voir... Nous aurions envie d'aller jusqu'au tombeau d'Aaron, situé sur le plus haut sommet de Petra (près de 1400 m d'altitude), mais la marche serait vraiment trop longue par cette chaleur. Nous nous contenterons donc, ce matin, de monter au djebel Al-Khubtha.
Nous faisons plusieurs rencontres dans ce coin peu fréquenté de Petra. Tout d'abord, des Bédouins montés sur des mules, qui descendent les escaliers. Un peu plus haut, c'est un lézard d'un bleu étonnant.
Et pour terminer, un troupeau de chèvres qui semble attendre quelqu'un, mais ce n'est pas nous qui les intéressons...
En effet, nous voyons arriver un Bédouin et ses deux femmes, montés sur des mules, qui viennent leur apporter un sac d'orge. Les éleveurs sont obligés d'importer des céréales, car la nourriture du désert n'est quand même pas suffisante pour les bêtes.
Le chemin continue, marqué par des cairns. Et tout d'un coup, nous découvrons le haut du khazneh! En continuant encore, nous arrivons à la tente d'un Bédouin - peu causant, pour une fois - qui s'est installé juste en face. De sa terrasse, nous distinguons parfaitement tout l'ensemble de ce monument exceptionnel. Notre grimpette valait vraiment la peine!
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