Mardi 16 août 2016
Nous avons réservé l'après-midi à la visite du "monastère", car c'est à ce moment-là qu'il est le mieux mis en valeur par la lumière. Une fois de plus, on ne sait pas exactement quelle était à l'origine la fonction de cet édifice, mais on a retrouvé de nombreuses croix gravées dans les grottes des environs, qui ont servi de refuge à des ermites.
Malgré les 788 marches qu'il a fallu gravir pour arriver jusqu'ici, nous ne nous arrêtons pas tout de suite au café installé en face, mais continuons vers un belvédère naturel. De là, on a vue superbe sur le wadi Araba et un sentier à flanc de montagne, qui fait penser aux vires des Pyrénées espagnoles.
C'est vraiment étonnant de voir un si bel édifice perdu dans cet endroit... Il nous manque certainement beaucoup de clés pour comprendre Petra, d'autant qu'il y a des parties qui sont encore enfouies sous le sable.
A notre retour, nous retrouvons nos Bédouins au pied des escaliers. Ils proposent de nous accompagner dans le wadi Al-Mudhlin, un passage très peu fréquenté qui permet d'éviter le long retour par le siq. Nous passons d'abord voir les mosaïques de l'église byzantine, remarquablement bien conservées malgré l'incendie qui a détruit l'église au 6e siècle.
Puis nous entamons le parcours dans le wadi. Le plus âgé des Bédouins nous accompagne dans la première partie pour nous faire franchir deux ou trois passages un peu difficiles, puis il nous laisse continuer seules. C'est assez impressionnant, car il n'y a absolument personne. Mais nous finissons par déboucher à la sortie du tunnel, à l'embranchement où commence le siq proprement dit. Il ne nous reste plus que les derniers 800 m à faire pour quitter définitivement Petra et ses merveilles...
Nous avons réservé l'après-midi à la visite du "monastère", car c'est à ce moment-là qu'il est le mieux mis en valeur par la lumière. Une fois de plus, on ne sait pas exactement quelle était à l'origine la fonction de cet édifice, mais on a retrouvé de nombreuses croix gravées dans les grottes des environs, qui ont servi de refuge à des ermites.
Malgré les 788 marches qu'il a fallu gravir pour arriver jusqu'ici, nous ne nous arrêtons pas tout de suite au café installé en face, mais continuons vers un belvédère naturel. De là, on a vue superbe sur le wadi Araba et un sentier à flanc de montagne, qui fait penser aux vires des Pyrénées espagnoles.
C'est vraiment étonnant de voir un si bel édifice perdu dans cet endroit... Il nous manque certainement beaucoup de clés pour comprendre Petra, d'autant qu'il y a des parties qui sont encore enfouies sous le sable.
A notre retour, nous retrouvons nos Bédouins au pied des escaliers. Ils proposent de nous accompagner dans le wadi Al-Mudhlin, un passage très peu fréquenté qui permet d'éviter le long retour par le siq. Nous passons d'abord voir les mosaïques de l'église byzantine, remarquablement bien conservées malgré l'incendie qui a détruit l'église au 6e siècle.
Puis nous entamons le parcours dans le wadi. Le plus âgé des Bédouins nous accompagne dans la première partie pour nous faire franchir deux ou trois passages un peu difficiles, puis il nous laisse continuer seules. C'est assez impressionnant, car il n'y a absolument personne. Mais nous finissons par déboucher à la sortie du tunnel, à l'embranchement où commence le siq proprement dit. Il ne nous reste plus que les derniers 800 m à faire pour quitter définitivement Petra et ses merveilles...
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