Dimanche 20 février 2011
J'étais bien trop fatiguée mercredi en débarquant à Toulouse en fin d'après-midi pour avoir le courage de faire encore du train et de la voiture. La priorité était: dodo!! Je suis donc arrivée tranquillement à la boulangerie de Michel, à Lourdes, le lendemain à midi, pour récupérer la voiture. Le chauffeur de taxi en a profité pour aller acheter du pain, parce qu'"on lui avait dit qu'il était très bon". Michel avait déjà annoncé que les résultats à Dakar dépassaient leurs espérances...
Pendant ces quelques jours d'absence, le printemps a encore avancé: un arbre tout blanc au sud de Toulouse, les mimosas qui s'ouvrent, de l'aubépine en fleurs à Pierrefitte, des jonquilles et autres fleurs printanières à Luz, des chatons partout... Le soleil arrive aussi beaucoup plus tôt, il passe au-dessus des montagnes maintenant.
Vendredi après-midi, j'étais déjà dans l'ambiance: téléphone de Geneviève O. - les choses semblent vouloir bouger à Pau -, discussion avec Mme S., conseillère municipale d'Esquièze rencontrée sur la route de Vizos... Beaucoup de choses à décider dans les mois qui viennent.
Aujourd'hui petite marche sur la route de l'Agnouède. Plusieurs maisons et granges ont été retapées depuis l'époque où on avait des granges et des prés là-haut. Une en particulier me faisait rêver, accrochée à la pente et surplombant la vallée. Elle a été arrangée dans un style très moderne qui ne me déplaît pas. D'autres restent toutes simples, dans le style du pays.
Escale à Lisbonne
Mercredi 16 février 2011
Babacar nous a déposées au Poulagou pour une dernière soirée et une courte nuit: il faut partir à 1 h du matin pour l'aéroport. Nous sommes à Lisbonne avant le lever du jour, avec une escale de 7 heures non prévue à l'origine, qui nous donne l'occasion de faire un petit tour de ville.
Nous descendons jusqu'à l'eau, croyant qu'il s'agit de la mer. Mais non, en fait c'est le Tage, très large à cet endroit. La place du Commerce est superbe. Mais là aussi, il y a beaucoup de vent...
Nous nous baladons un peu dans le quartier, admirant les églises et de belles maisons dont beaucoup sont recouvertes de faïence.
Un artisan a repris le thème de la faïence pour créer des carreaux que je trouve particulièrement réussis.
Babacar nous a déposées au Poulagou pour une dernière soirée et une courte nuit: il faut partir à 1 h du matin pour l'aéroport. Nous sommes à Lisbonne avant le lever du jour, avec une escale de 7 heures non prévue à l'origine, qui nous donne l'occasion de faire un petit tour de ville.
Nous descendons jusqu'à l'eau, croyant qu'il s'agit de la mer. Mais non, en fait c'est le Tage, très large à cet endroit. La place du Commerce est superbe. Mais là aussi, il y a beaucoup de vent...
Nous nous baladons un peu dans le quartier, admirant les églises et de belles maisons dont beaucoup sont recouvertes de faïence.
Un artisan a repris le thème de la faïence pour créer des carreaux que je trouve particulièrement réussis.
Saint-Louis
Mardi 15 février 2011
Il ne nous reste plus que la visite de Saint-Louis, ancienne ville coloniale construite sur une île, qui a conservé les vieilles maisons des colons français, avec leurs balcons en fer forgé et leurs couleurs. Mais toutes, et de loin, ne sont pas en bon état...
Certaines ont été transformées en hôtels de style, avec de nombreuses photos et affiches de cette époque ou de films qui y ont été tournés. L'ambiance y est chaleureuse, au propre comme au figuré: enfin une salle à manger fermée, sans courants d'air! L'ambiance est assez New-Orleans...
Dans la matinée, nous faisons le tour de la ville en calèche - excellent pour les allergiques aux chevaux!
Après les principaux monuments, nous arrivons sur la langue de Barbarie, longue langue de sable entre le fleuve et l'océan. Une partie est occupée par les pêcheurs.
Ceux-ci forment un groupe à part, qui tient à rester sur ce bout de terre particulièrement surpeuplé. Il faut dire qu'ils sont musulmans ancienne mode et que la plupart ont quatre femmes, avec en moyenne 5 à 6 enfants par femme - calculez!
Nous traversons ensuite le quartier chrétien, nettement plus calme, mais où de nombreuses maisons ne sont plus entretenues. L'extrémité sud est appelée "promenade des Anglais"...
Enfin c'est le fameux hôtel de la Poste, qui hébergea les pilotes de l'Aéropostale, dont Mermoz.
Nous quittons Saint-Louis par le pont Faidherbe, le plus léger du monde (devinez pourquoi). Babacar nous a demandé s'il pouvait emmener son épouse, ce que nous avons bien sûr accepté. Nous découvrons qu'elle est en LEA anglais-espagnol et qu'elle a l'intention de faire ensuite... sciences po (à Saint-Louis)! Or Hélo a dans sa classe un Sénégalais qui s'appelle aussi Babacar... Nous allons les mettre en contact!
Il ne nous reste plus que la visite de Saint-Louis, ancienne ville coloniale construite sur une île, qui a conservé les vieilles maisons des colons français, avec leurs balcons en fer forgé et leurs couleurs. Mais toutes, et de loin, ne sont pas en bon état...
Certaines ont été transformées en hôtels de style, avec de nombreuses photos et affiches de cette époque ou de films qui y ont été tournés. L'ambiance y est chaleureuse, au propre comme au figuré: enfin une salle à manger fermée, sans courants d'air! L'ambiance est assez New-Orleans...
Dans la matinée, nous faisons le tour de la ville en calèche - excellent pour les allergiques aux chevaux!
Après les principaux monuments, nous arrivons sur la langue de Barbarie, longue langue de sable entre le fleuve et l'océan. Une partie est occupée par les pêcheurs.
Ceux-ci forment un groupe à part, qui tient à rester sur ce bout de terre particulièrement surpeuplé. Il faut dire qu'ils sont musulmans ancienne mode et que la plupart ont quatre femmes, avec en moyenne 5 à 6 enfants par femme - calculez!
Nous traversons ensuite le quartier chrétien, nettement plus calme, mais où de nombreuses maisons ne sont plus entretenues. L'extrémité sud est appelée "promenade des Anglais"...
Enfin c'est le fameux hôtel de la Poste, qui hébergea les pilotes de l'Aéropostale, dont Mermoz.
Nous quittons Saint-Louis par le pont Faidherbe, le plus léger du monde (devinez pourquoi). Babacar nous a demandé s'il pouvait emmener son épouse, ce que nous avons bien sûr accepté. Nous découvrons qu'elle est en LEA anglais-espagnol et qu'elle a l'intention de faire ensuite... sciences po (à Saint-Louis)! Or Hélo a dans sa classe un Sénégalais qui s'appelle aussi Babacar... Nous allons les mettre en contact!
Le parc national du Djoudj
Lundi 14 février 2011
Nous arrivons à Saint-Louis pour le repas de midi, que nous prenons dans un joli petit restaurant donnant directement sur le fleuve (le fleuve Sénégal, qui se jette là dans l'océan). La nourriture est un peu plus européenne: toujours du poisson, mais pas sous forme de riz au poisson - le thiéboudienne - qu'on a mangé presque tous les jours à Dakar, mais de poisson grillé, excellent.
Puis c'est le départ pour le parc national du Djoudj, tout au nord vers la Mauritanie, à la limite du Sahara. Le chauffeur nous dit que la route que nous prenons mène à Nouakchott puis jusqu'en Europe, ce qui fait un peu rêver...
Sur la piste qui mène au parc, nous rencontrons un singe et nos premiers phacochères, puis, près de l'embarcadère, un joli python.
Le parc national, situé dans le delta du Sénégal, est constitué de nombreux canaux et étangs abritant une foule d'oiseaux migrateurs, pour qui il constitue la première halte après la traversée du désert.
On s'y promène en pirogue "sécurisée" (à moteur). Les cormorans noirs, perchés sur les arbres morts, nous font penser aux dessins de Lucky Luke!
La principale attraction est le nichoir des pélicans, immense rassemblement, sur de grands rochers plats, de centaines de pélicans, adultes et jeunes aux plumes encore sombres. Au retour, le piroguier nous fait voir plusieurs crocodiles; malheureusement, la batterie de l'appareil photo est vide, je n'ai pas pu la charger hier dans la tente!
Nous arrivons à Saint-Louis pour le repas de midi, que nous prenons dans un joli petit restaurant donnant directement sur le fleuve (le fleuve Sénégal, qui se jette là dans l'océan). La nourriture est un peu plus européenne: toujours du poisson, mais pas sous forme de riz au poisson - le thiéboudienne - qu'on a mangé presque tous les jours à Dakar, mais de poisson grillé, excellent.
Puis c'est le départ pour le parc national du Djoudj, tout au nord vers la Mauritanie, à la limite du Sahara. Le chauffeur nous dit que la route que nous prenons mène à Nouakchott puis jusqu'en Europe, ce qui fait un peu rêver...
Sur la piste qui mène au parc, nous rencontrons un singe et nos premiers phacochères, puis, près de l'embarcadère, un joli python.
Le parc national, situé dans le delta du Sénégal, est constitué de nombreux canaux et étangs abritant une foule d'oiseaux migrateurs, pour qui il constitue la première halte après la traversée du désert.
On s'y promène en pirogue "sécurisée" (à moteur). Les cormorans noirs, perchés sur les arbres morts, nous font penser aux dessins de Lucky Luke!
La principale attraction est le nichoir des pélicans, immense rassemblement, sur de grands rochers plats, de centaines de pélicans, adultes et jeunes aux plumes encore sombres. Au retour, le piroguier nous fait voir plusieurs crocodiles; malheureusement, la batterie de l'appareil photo est vide, je n'ai pas pu la charger hier dans la tente!
Nuit au désert
Dimanche 13 février 2011
Nous avons prévu d'aller visiter le nord du Sénégal. Mais la distance étant assez importante (250 km de Dakar à Saint-Louis) et vu l'expérience de notre trajet pour le lac Rose, nous avons préféré prendre un voyage organisé. Notre chauffeur, Babacar, vient nous chercher à l'hôtel en début d'après-midi.
Nous faisons un arrêt au monastère de Keur Moussa, fondé par des moines de l'abbaye de Solesmes. C'est un beau domaine bien entretenu, avec beaucoup de plantations, notamment de pamplemousses (délicieux!).
Puis c'est un assez long trajet qui nous permet de voir les paysages sénégalais: savane plantée d'acacias, d'eucalyptus et de baobabs - magnifiques arbres qui ont des airs d'êtres humains -, petites villes avec leurs boutiques le long de la route, villages de cases typiques, troupeaux de zébus, moutons noir et blanc et surtout chèvres qui traversent sans prévenir...
Nous arrivons en fin d'après-midi au "lodge" de Lompoul: un campement sous tentes, très confortable, dans le seul désert de sable du Sénégal. Si les installations sont confortables, elles ne sont pas prévues pour le grand vent: la "salle de bains" et le restaurant sont en plein air et personne ne s'attarde pour le repas, car il fait plutôt froid!! Et notre tente fasseye tant qu'elle peut...
Le lendemain matin, petite promenade dans les dunes autour du camp en attendant Babacar. Certains ont fait une promenade à dos de chameau.
Le village de Lompoul correspond tout à fait à ce qu'on imagine de l'Afrique...
Nous avons prévu d'aller visiter le nord du Sénégal. Mais la distance étant assez importante (250 km de Dakar à Saint-Louis) et vu l'expérience de notre trajet pour le lac Rose, nous avons préféré prendre un voyage organisé. Notre chauffeur, Babacar, vient nous chercher à l'hôtel en début d'après-midi.
Nous faisons un arrêt au monastère de Keur Moussa, fondé par des moines de l'abbaye de Solesmes. C'est un beau domaine bien entretenu, avec beaucoup de plantations, notamment de pamplemousses (délicieux!).
Puis c'est un assez long trajet qui nous permet de voir les paysages sénégalais: savane plantée d'acacias, d'eucalyptus et de baobabs - magnifiques arbres qui ont des airs d'êtres humains -, petites villes avec leurs boutiques le long de la route, villages de cases typiques, troupeaux de zébus, moutons noir et blanc et surtout chèvres qui traversent sans prévenir...
Nous arrivons en fin d'après-midi au "lodge" de Lompoul: un campement sous tentes, très confortable, dans le seul désert de sable du Sénégal. Si les installations sont confortables, elles ne sont pas prévues pour le grand vent: la "salle de bains" et le restaurant sont en plein air et personne ne s'attarde pour le repas, car il fait plutôt froid!! Et notre tente fasseye tant qu'elle peut...
Le lendemain matin, petite promenade dans les dunes autour du camp en attendant Babacar. Certains ont fait une promenade à dos de chameau.
Le village de Lompoul correspond tout à fait à ce qu'on imagine de l'Afrique...
Le lac Rose
Dimanche 13 février 2011
Nous entamons aujourd'hui la partie purement touristique de notre voyage. L'hôtel qui nous accueille, agrémenté d'un jardin de cocotiers et de bougainvillées, me rappelle ceux de Maurice.
N'ayant pas vu grand chose du lac Rose depuis notre arrivée, nous décidons d'aller faire un tour vers la mer, dans les dunes. Le lac Rose est une sorte de grand étang salé, peu profond, qui communique à un endroit avec l'océan. Il fait office de marais salant, raison pour laquelle il prend parfois une teinte tout à fait rose. Il ne nous aura pas fait cet honneur...
Nous sommes ici sur la "Grande côte", où l'océan n'est pas très accueillant. Les rouleaux sont puissants, on ne peut pas se baigner - de toute façon, comme le "mistral" (le vent du désert) souffle toujours aussi fort, il ne fait pas assez chaud pour qu'on en ait envie.
Sur le chemin du retour, nous passons près d'une espèce d'oasis bien cultivée, irriguée par de l'eau douce qui filtre depuis la mer à travers le sable.
Fatiguées par la marche dans le sable, nous atterrissons à notre restaurant à tapalapa, dont l'atmosphère est beaucoup plus tropicale que celle de notre hôtel - il est au bord du lac et bénéficie lui aussi des petites résurgences d'eau douce.
Nous entamons aujourd'hui la partie purement touristique de notre voyage. L'hôtel qui nous accueille, agrémenté d'un jardin de cocotiers et de bougainvillées, me rappelle ceux de Maurice.
N'ayant pas vu grand chose du lac Rose depuis notre arrivée, nous décidons d'aller faire un tour vers la mer, dans les dunes. Le lac Rose est une sorte de grand étang salé, peu profond, qui communique à un endroit avec l'océan. Il fait office de marais salant, raison pour laquelle il prend parfois une teinte tout à fait rose. Il ne nous aura pas fait cet honneur...
Nous sommes ici sur la "Grande côte", où l'océan n'est pas très accueillant. Les rouleaux sont puissants, on ne peut pas se baigner - de toute façon, comme le "mistral" (le vent du désert) souffle toujours aussi fort, il ne fait pas assez chaud pour qu'on en ait envie.
Sur le chemin du retour, nous passons près d'une espèce d'oasis bien cultivée, irriguée par de l'eau douce qui filtre depuis la mer à travers le sable.
Fatiguées par la marche dans le sable, nous atterrissons à notre restaurant à tapalapa, dont l'atmosphère est beaucoup plus tropicale que celle de notre hôtel - il est au bord du lac et bénéficie lui aussi des petites résurgences d'eau douce.
L'hôpital traditionnel de Keur Massar
Samedi 12 février 2011
Les coïncidences continuent. Nous avions prévu d'aller visiter l'hôpital traditionnel de Keur Massar ce samedi, et c'est justement cette journée qu'une équipe de France-Culture a choisie pour faire un reportage destiné à l'émission "Terre à terre". Or Ruth, la reporter, est une amie de Christine et James, et son compagnon est boulanger à ses heures!
Nous arrivons à 10 heures, accueillies d'abord par la pharmacienne, puis par Djibril, avec qui nous commençons la visite. Arrivent ensuite l'équipe de France-Culture, puis Christine et James.
L'hôpital fait tout lui-même: la culture des plantes médicinales, le séchage, le conditionnement, les préparations... Il comporte aussi des salles où les tradipraticiens reçoivent les malades. Ruth interviewe l'un d'entre eux. Puis nous terminons par la visite du jardin (3 hectares) où sont cultivées la plupart des plantes utilisées.
Photos de groupe avant le départ des journalistes...
Petit clin d'oeil aux amis suisses: la voiture de l'hôpital a du mal à démarrer... Pourtant, vu son origine, elle devrait marcher comme une horloge!!
La fondatrice de l'hôpital, une Française, le professeur Yvette Parès, a même créé une école, dans laquelle je retrouve les traces du passage de la 11e classe de l'école Steiner de Genève, l'an dernier, menée par Geneviève, tout comme le voyage en Inde d'Hélo.
La salle de classe est très joliment décorée, et les élèves ont des pupitres; ils ne sont pas assis par terre comme en Inde!
Le soir, nous allons manger dans un autre restaurant du lac Rose. Le gérant, un Français, y sert du "tapalapa", un pain bien meilleur que l'affreux pain blanc qu'on trouve habituellement ici. Il est fabriqué par les boulangers des villages. On va y envoyer les nôtres!
Les coïncidences continuent. Nous avions prévu d'aller visiter l'hôpital traditionnel de Keur Massar ce samedi, et c'est justement cette journée qu'une équipe de France-Culture a choisie pour faire un reportage destiné à l'émission "Terre à terre". Or Ruth, la reporter, est une amie de Christine et James, et son compagnon est boulanger à ses heures!
Nous arrivons à 10 heures, accueillies d'abord par la pharmacienne, puis par Djibril, avec qui nous commençons la visite. Arrivent ensuite l'équipe de France-Culture, puis Christine et James.
L'hôpital fait tout lui-même: la culture des plantes médicinales, le séchage, le conditionnement, les préparations... Il comporte aussi des salles où les tradipraticiens reçoivent les malades. Ruth interviewe l'un d'entre eux. Puis nous terminons par la visite du jardin (3 hectares) où sont cultivées la plupart des plantes utilisées.
Photos de groupe avant le départ des journalistes...
Petit clin d'oeil aux amis suisses: la voiture de l'hôpital a du mal à démarrer... Pourtant, vu son origine, elle devrait marcher comme une horloge!!
La fondatrice de l'hôpital, une Française, le professeur Yvette Parès, a même créé une école, dans laquelle je retrouve les traces du passage de la 11e classe de l'école Steiner de Genève, l'an dernier, menée par Geneviève, tout comme le voyage en Inde d'Hélo.
La salle de classe est très joliment décorée, et les élèves ont des pupitres; ils ne sont pas assis par terre comme en Inde!
Le soir, nous allons manger dans un autre restaurant du lac Rose. Le gérant, un Français, y sert du "tapalapa", un pain bien meilleur que l'affreux pain blanc qu'on trouve habituellement ici. Il est fabriqué par les boulangers des villages. On va y envoyer les nôtres!
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